Petites amies (Hélèna Villovitch)
PETITES AMIES 26/02/07
(textes courts pour Y.N.)
J’avais une petite amie qui venait toujours avec une copine, elle aimait bien le noir, alors quand elle arrivait j’éteignais très vite toutes les lumières de la maison et si un peu de jour passait par les volets je sortais des foulards de soie pour bander les yeux de tout le monde, oui, car souvent elle venait non seulement avec une mais avec deux, trois ou peut-être même quatre copines et aussi quelques garçons, quand j’y repense je me dis que je ne suis même pas sûr de l’avoir baisée, avec tout ce monde on ne pouvait jamais être sûr.
J’avais une petite amie qui était dingue de tarte aux fraises, tous les dimanches il fallait la voir s’asseoir dessus au moment du dessert et ensuite faire la maline avec son petit cul plein de crème chantilly et des morceaux de fruits coincés dans la chatte.
J’avais une petite amie qui était folle des légumes, tous les légumes.
J’avais une petite amie qui se suspendait au lustre, elle faisait ça dès qu’on sonnait à la porte et ensuite elle attendait que quelqu’un passe en dessous d’elle, et s’il stationnait quelques secondes, elle se mettait à pisser sur lui, comme ça, très naturellement. Et remarquez bien qu’aucun invité ne s’est jamais plaint, parce que, comme j’ai déjà dit, c’était très simple, très naturel.
J’avais une petite amie qui adorait être attachée alors qu’elle avait envie de pisser et quand elle ne pouvait plus se retenir elle poussait des cris jusqu’à ce que les voisins défoncent la porte.
J’avais une petite amie qui se branlait avec les pieds de chaises, elle faisait ça au restaurant pendant que les gens continuaient leur dîner comme si de rien n’était.
J’avais une petite amie qui avait une queue de lapin, une petite touffe de poils blancs en bas du dos, quand je lui léchais l’anus ça me chatouillait les yeux.
J’avais une petite amie, enfin petite amie si on veut, elle n’était plus très jeune, je l’avais récupérée alors qu’elle était en morceaux, en miettes, complètement désintégrée, son mec l’avait laissée tomber après douze ans pour se coller avec une plus jeune, son assistante, une fille pas très maline mais avec des seins énormes, cette petite amie passait son temps à chialer et comme ça m’excitait je lui parlais toujours de cette assistante que je n’avais jamais vue mais dont l’idée des seins me faisait jouir sur son visage trempé de larmes.
J’avais une petite amie qui savait vraiment me sucer, il faut dire que je l’avais bien fait travailler.
J’avais une petite amie qui s’enfilait des œufs dans le vagin, je trouvais ça assez original mais ensuite j’ai compris qu’elle avait lu ça dans un livre, pas un mauvais livre, remarquez.
J’avais une petite amie très littéraire, si vous voyez ce que je veux dire. Je n’ai jamais lu ce qu’elle écrivait, je la prenais par derrière au-dessus de son clavier, j’avais terminé avant qu’elle n’ait eu le temps de lancer l’imprimante.
J’avais une petite amie, vous direz peut-être que je me vante mais chaque
fois que je sortais de chez moi, je la trouvais sur mon paillasson prête à me lécher les pieds et je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi j’aurais trouvé ça dommage qu’elle se limite à mes pieds.
J’avais une petite amie qui courait sur la plage et puis à un moment elle faisait semblant de tomber et elle se branlait le clitoris en fermant les yeux jusqu’à ce que quelqu’un passe par là et vienne la lécher.
(textes courts pour Y.N.)
J’avais une petite amie qui venait toujours avec une copine, elle aimait bien le noir, alors quand elle arrivait j’éteignais très vite toutes les lumières de la maison et si un peu de jour passait par les volets je sortais des foulards de soie pour bander les yeux de tout le monde, oui, car souvent elle venait non seulement avec une mais avec deux, trois ou peut-être même quatre copines et aussi quelques garçons, quand j’y repense je me dis que je ne suis même pas sûr de l’avoir baisée, avec tout ce monde on ne pouvait jamais être sûr.
J’avais une petite amie qui était dingue de tarte aux fraises, tous les dimanches il fallait la voir s’asseoir dessus au moment du dessert et ensuite faire la maline avec son petit cul plein de crème chantilly et des morceaux de fruits coincés dans la chatte.
J’avais une petite amie qui était folle des légumes, tous les légumes.
J’avais une petite amie qui se suspendait au lustre, elle faisait ça dès qu’on sonnait à la porte et ensuite elle attendait que quelqu’un passe en dessous d’elle, et s’il stationnait quelques secondes, elle se mettait à pisser sur lui, comme ça, très naturellement. Et remarquez bien qu’aucun invité ne s’est jamais plaint, parce que, comme j’ai déjà dit, c’était très simple, très naturel.
J’avais une petite amie qui adorait être attachée alors qu’elle avait envie de pisser et quand elle ne pouvait plus se retenir elle poussait des cris jusqu’à ce que les voisins défoncent la porte.
J’avais une petite amie qui se branlait avec les pieds de chaises, elle faisait ça au restaurant pendant que les gens continuaient leur dîner comme si de rien n’était.
J’avais une petite amie qui avait une queue de lapin, une petite touffe de poils blancs en bas du dos, quand je lui léchais l’anus ça me chatouillait les yeux.
J’avais une petite amie, enfin petite amie si on veut, elle n’était plus très jeune, je l’avais récupérée alors qu’elle était en morceaux, en miettes, complètement désintégrée, son mec l’avait laissée tomber après douze ans pour se coller avec une plus jeune, son assistante, une fille pas très maline mais avec des seins énormes, cette petite amie passait son temps à chialer et comme ça m’excitait je lui parlais toujours de cette assistante que je n’avais jamais vue mais dont l’idée des seins me faisait jouir sur son visage trempé de larmes.
J’avais une petite amie qui savait vraiment me sucer, il faut dire que je l’avais bien fait travailler.
J’avais une petite amie qui s’enfilait des œufs dans le vagin, je trouvais ça assez original mais ensuite j’ai compris qu’elle avait lu ça dans un livre, pas un mauvais livre, remarquez.
J’avais une petite amie très littéraire, si vous voyez ce que je veux dire. Je n’ai jamais lu ce qu’elle écrivait, je la prenais par derrière au-dessus de son clavier, j’avais terminé avant qu’elle n’ait eu le temps de lancer l’imprimante.
J’avais une petite amie, vous direz peut-être que je me vante mais chaque
fois que je sortais de chez moi, je la trouvais sur mon paillasson prête à me lécher les pieds et je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi j’aurais trouvé ça dommage qu’elle se limite à mes pieds.
J’avais une petite amie qui courait sur la plage et puis à un moment elle faisait semblant de tomber et elle se branlait le clitoris en fermant les yeux jusqu’à ce que quelqu’un passe par là et vienne la lécher.
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