"Mon père, il m'avait fait une lance. Mes cousins l'ont cassée."
« Mon père, il m’avait fait une lance. Mes cousins l’ont cassée. »
Pour Xavier Caroff
Les fleurs disparaissent rapides et lentes, le paysage prend son sens
Flaque de vent, flaque de mer, la fabrication du malheur
Le cercueil de verre, la vitre diffuse
La voile blanche ou l’oiseau vivant
Cormoran noir
Long cou fringale
Tête de mort, les enfants. C’était vivant
Voile morte au moteur régulier
Vaisseau fantôme et, là, le sexe d’une fille
Têtes de morts identiques aux coquillages. Crabe miniature et pur
« People », cela veut dire « peuple »
« Elle manque, elle manque, elle manque, elle manque de plus en plus ! »
Raviver la douleur, le feu de l’épouvantable
Tous les graviers de cette grève ont toujours semblé vivants
La beauté, l’enfance à chercher
Elle est tout un lac
Transparence des eaux purifiées par ses cendres
L’enfant rose clarté joue sur l’arbre mort
L’invisible soit dessous soit dessus
Yves-Noël Genod. Porsisquin, 15 août 2007.
Pour Xavier Caroff
Les fleurs disparaissent rapides et lentes, le paysage prend son sens
Flaque de vent, flaque de mer, la fabrication du malheur
Le cercueil de verre, la vitre diffuse
La voile blanche ou l’oiseau vivant
Cormoran noir
Long cou fringale
Tête de mort, les enfants. C’était vivant
Voile morte au moteur régulier
Vaisseau fantôme et, là, le sexe d’une fille
Têtes de morts identiques aux coquillages. Crabe miniature et pur
« People », cela veut dire « peuple »
« Elle manque, elle manque, elle manque, elle manque de plus en plus ! »
Raviver la douleur, le feu de l’épouvantable
Tous les graviers de cette grève ont toujours semblé vivants
La beauté, l’enfance à chercher
Elle est tout un lac
Transparence des eaux purifiées par ses cendres
L’enfant rose clarté joue sur l’arbre mort
L’invisible soit dessous soit dessus
Yves-Noël Genod. Porsisquin, 15 août 2007.
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