Sunday, November 18, 2007

Paranoid Park

Léger comme de l’amour

Clochards du rail

Des enfants liquides

Conduisent des voitures

Dans la brume-nuit

Other problems

Bigger problems

Ça descend dans le sol

Ça descend dans le sous-sol

Les jambes, les legs

Qui glissent, qui roulent, qui walk

Les marches legs

Compter

Venez !

L’oreille

L’oreille

(Regarde) guette

Un homme coupé en deux et les jambes sont d’un côté, actives, vivantes

En un sens

Les feuilles de papier parfumées

J’avais essayé d’oublier

Le train longe le long

Le long lent

Le domicile

Et l’on grimpe dans le train du long lent domicile

Du long lent du domicile

L’ambiance pure avec le code

Le jeune pilote du crime

Et le pauvre amour parfumé à l’eau de rose

Le grand-père liquide, cool

Trouble, une femme

Éclairage bleu

Couverte de sang

Ouverte comme le corps craintif et musclé d’un adolescent

Adolescence

Évanescence

L’eau coule sur la beauté

Sur les cheveux, la peau libre

L’oiseau du papier peint

Sombre l’enfant

Et l’oiseau du papier peint

Comme dans une jungle paranoid

Paranoïaque

Mais se rhabille

Et s’en sort

Il se retient

Un nouveau pantalon

Des nouvelles jambes

Je sais pas

Dans le sous-sol, le basement

La flamme, la fleur devine

Les visages sont des yeux

La cathédrale de larmes (et de lumière)

C’était super

C’est ça un flic, la beauté

Incompris comme la lune

L’image est translucide

Comme un biscuit LU

Un TUC

Jennifer est une pom-pom girl

Et c’est sexy

Il s’enterre sous sa planche

Il écrit tout










Yves-Noël Genod, 18 novembre 2007.

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