Avec mon ami, nous avons parlé, lui et moi… A mouth is a mouth. Girlfriends’ little softer
Les piscines d’eau sombre. Cet atlas est inutile
La nuit, la nuit facile. L’éternel scénario idiot. Il n’a jamais essayé d’écrire
Comment disais-je ? inévitable
L’univers – le jardin – enchanté
L’amour de la vie, les arbres bougent, les buissons ronds
Les arbres, par transparence, disséminés
Mais, Marseille, en même temps que c’est une grande ville, c’est un village
Des vieillards partouzeurs
La vague image antérieure d’un livre non écrit
La force d’inertie du langage et de l’invention
De moi à moi, de moi à moi
C’était l’apocalypse
C’était l’apocalypse
C’était l’apocalypse
Pour ne rien dire
Tout ce qu’on avait réussi à faire, c’est qu’on avait tué Jean-Pierre
On peut être intelligent
Les oiseaux prolongent les arbres
Le rêveur parcourait les sables d’un désert pluvieux
On veut que la culture se désagrège
Yves-Noël Genod, 11 janvier 2008.
Les piscines d’eau sombre. Cet atlas est inutile
La nuit, la nuit facile. L’éternel scénario idiot. Il n’a jamais essayé d’écrire
Comment disais-je ? inévitable
L’univers – le jardin – enchanté
L’amour de la vie, les arbres bougent, les buissons ronds
Les arbres, par transparence, disséminés
Mais, Marseille, en même temps que c’est une grande ville, c’est un village
Des vieillards partouzeurs
La vague image antérieure d’un livre non écrit
La force d’inertie du langage et de l’invention
De moi à moi, de moi à moi
C’était l’apocalypse
C’était l’apocalypse
C’était l’apocalypse
Pour ne rien dire
Tout ce qu’on avait réussi à faire, c’est qu’on avait tué Jean-Pierre
On peut être intelligent
Les oiseaux prolongent les arbres
Le rêveur parcourait les sables d’un désert pluvieux
On veut que la culture se désagrège
Yves-Noël Genod, 11 janvier 2008.
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