Sunday, January 06, 2008

La proximité du sans accès

La proximité du sans accès










Les branches et la pluie. La neige n’est pas du sucre. On les a répertoriées : onze photos d’un chiot. Hélèna écrit, c’est un mystère. Pas très Beckett… Quoique… Mon Dieu ! Daniel Larrieu a oublié quelque chose sur le feu. Petit personnage public. Oh, ce n’est qu’un bébé… Elle tremble. Allons, tenez mon chien, sergent.

Cette chienne porte mal ses lunettes. Ovidie. Ô folie ! Et maintenant, où êtes-vous, Monsieur Prince ? Adios, Monsieur Prince. (Prononcer à l’anglaise.) Ma femme et moi, il faudra bien qu’on se décide à prendre une décision, un jour.

Vous savez Hollywood est un endroit où on embrasse beaucoup.
Il faut qu’tu sois là… Oui, il faut qu’tu sois là ! Musique plus lointaine, plus caverneuse. L’appartement, la maison – agréable. Roses de papier, porte d’entrée. Et, dans le noir du sac noir, le rouge à lèvres n’est pas là. Le sac comme un tigre. Tu bois trop. – Je suis veuve, je bois mon chagrin.










Yves-Noël Genod, 6 janvier 2008.

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