Pluie d'été
Pluie d'été
Monsieur Le-feu-vole, Firefly
Il apparaîtra quand l’horloge sonnera dix fois. He’ll make his appearance when the clock on the wall strikes ten. Information, illustration… Partager avec moi. In cauda venenum.
Qu’est-ce que je confesse ? L’eau d’azur. Food ! Food ! L’amour est montré comme abandonné… Les Roumains.
Alors, c’était beau l’Irlande ? – Merveilleux ! De la brume, de la pluie.
Enfin, vous voyez, ce qui m’amuse là-d’dans… C’est quand même pas sorcier d’avoir l’air d’un bonhomme, de temps en temps, bon sang, quoi.
Vous comprenez, ça doit être… on doit jouer sérieusement, mais sans jamais se prendre au sérieux. Tout ça doit, doit être… c’est un mot… « gracieux », mais dans le bon sens du terme… et avoir l’air d’être facile, et, pour ça, c’est un travail qui vient de l’intérieur…
Les viandes de Breughel, de Rembrandt...
Il y a une irréalité dans les roses, dans l’amorti des roses… This is the end, beautiful friend.
(Waiting for the summer rain.)
Le serpent old and cold. Sanglot, moulin.
C’est distingué, ta façon d’manger ; on dirait une pelleteuse.
Un charmant va-nu-pieds ou un prince mendiant. Un personnage démodé, anachronique. Quand on casse son image…
Une femme idéalisée. Nues sont les robes… L’approche rose… À pas de loup…
J’aime… Je n’suis pas libre de cet amour… La réunion de deux désespoirs.
Entre intimes.
Le canapé s’évanouit quand il s’évanouit et, quand l’autre entre, les ombres s’affadissent… Tout est vu dans le miroir comme dans la réalité.
Yves-Noël Genod, 19 janvier 2008.
Monsieur Le-feu-vole, Firefly
Il apparaîtra quand l’horloge sonnera dix fois. He’ll make his appearance when the clock on the wall strikes ten. Information, illustration… Partager avec moi. In cauda venenum.
Qu’est-ce que je confesse ? L’eau d’azur. Food ! Food ! L’amour est montré comme abandonné… Les Roumains.
Alors, c’était beau l’Irlande ? – Merveilleux ! De la brume, de la pluie.
Enfin, vous voyez, ce qui m’amuse là-d’dans… C’est quand même pas sorcier d’avoir l’air d’un bonhomme, de temps en temps, bon sang, quoi.
Vous comprenez, ça doit être… on doit jouer sérieusement, mais sans jamais se prendre au sérieux. Tout ça doit, doit être… c’est un mot… « gracieux », mais dans le bon sens du terme… et avoir l’air d’être facile, et, pour ça, c’est un travail qui vient de l’intérieur…
Les viandes de Breughel, de Rembrandt...
Il y a une irréalité dans les roses, dans l’amorti des roses… This is the end, beautiful friend.
(Waiting for the summer rain.)
Le serpent old and cold. Sanglot, moulin.
C’est distingué, ta façon d’manger ; on dirait une pelleteuse.
Un charmant va-nu-pieds ou un prince mendiant. Un personnage démodé, anachronique. Quand on casse son image…
Une femme idéalisée. Nues sont les robes… L’approche rose… À pas de loup…
J’aime… Je n’suis pas libre de cet amour… La réunion de deux désespoirs.
Entre intimes.
Le canapé s’évanouit quand il s’évanouit et, quand l’autre entre, les ombres s’affadissent… Tout est vu dans le miroir comme dans la réalité.
Yves-Noël Genod, 19 janvier 2008.
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