Monday, August 17, 2009

La décadence



"...On fait des poèmes sur le café, sur les échecs, sur la lumière ; les grands ouvrages ont été des poèmes sur les jardins. On ne s'occupait plus guère alors de l'humanité selon le monde ancien, ni de l'individu selon le Christianisme, mais seulement de quelques-uns des sens de l'homme animal, de l'individu sensitif, puis à l'état de la statue de Condillac, quand on lui attache le nez pour lui donner la sensation de l'odeur. Les héros, les poèmes, étaient tantôt le nez, tantôt l'œil, tantôt le palais..."

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