la nouvelle Rome ne se fera pas en un jour
et des choses un peu vénéneuses...
mais Marguerite
quelque chose qui nous touche tous
des femmes nues, debout entre des écriteaux
ici la campagne est massive
ici aujourd'hui
tous les poètes refusent d'en dire
chien animaux épars comme dans la caverne rappellent le monde enfui du moi enfant
les vagues livres que l'un ou l'autre lit
dans la maison traînent comme malmenés, épars, naufragés
les titres et les plus beaux sont ceux des livres de poches
Un Diamant gros comme le Ritz
personne ne peut savoir ici ce que "le Ritz" veut dire
sauf - voyez comme le monde est fait - Coco Chanel qui est née là - il a bien fallu qu'elle naisse
tes laitues naissent-elles ? - oui, mes laitues naissent
voix bois
mer vert
souffle houle
soleil sol
le papier-peint d'une maison désertée à la Dominique Gonzalez-Forster
comme les animaux calmes dessine des roses de nuit
comme les animaux chacun dans leur genre
et Dieu pour tous
pour tous les relier avec la tristesse qui est la conscience
des événements il n'y en a pas, c'est le terme, le temps de la décadence
si l'on lit - lire est une surface ?
oui, de papier-peint ancien qui relie
les animaux les laitues et les seins
l'étude est spongieuse
la voiture brûle la route, invisible toujours et venant de plus loin que la piscine, de plus loin que le vent du château et pourtant c'est plein soleil
on a été à Vichy
tous les vieux dansaient comme en leurs premiers jours des aventures invisibles et touchantes
cette histoire sans intrigue sans action se poursuivaient parmi les générations et les sexes indifférente aux arrangements de toute sorte - qui est avec qui, tes laitues naissent-elles ?
il y avait le noir de toutes les ex et de toutes les voitures, l'arbre, le déluré et le chat (blanc) écoutait en compagnie - probablement les voix, qu'est-ce qu'il y a à écouter ?
le noir le sombre le délicat
et le jour le clair le solaire quelle affaire...
les joies et les douleurs de ces amours et de ces couples
la mémoire de l'oubli
Vichy est une nappe à carreau, un bonbon à la menthe, une bouteille d'eau aussi : Vichy-St-Yorre
et la guerre cela commence à faire
la guerre ? naguère...
Cléelie repère les homophonies : en traits, entrée, je vais lui demander l'autre qu'elle m'avait dit... et ensuite, comme ça, on ira à la piscine...
ou alors je resterai
mais Marguerite
quelque chose qui nous touche tous
des femmes nues, debout entre des écriteaux
ici la campagne est massive
ici aujourd'hui
tous les poètes refusent d'en dire
chien animaux épars comme dans la caverne rappellent le monde enfui du moi enfant
les vagues livres que l'un ou l'autre lit
dans la maison traînent comme malmenés, épars, naufragés
les titres et les plus beaux sont ceux des livres de poches
Un Diamant gros comme le Ritz
personne ne peut savoir ici ce que "le Ritz" veut dire
sauf - voyez comme le monde est fait - Coco Chanel qui est née là - il a bien fallu qu'elle naisse
tes laitues naissent-elles ? - oui, mes laitues naissent
voix bois
mer vert
souffle houle
soleil sol
le papier-peint d'une maison désertée à la Dominique Gonzalez-Forster
comme les animaux calmes dessine des roses de nuit
comme les animaux chacun dans leur genre
et Dieu pour tous
pour tous les relier avec la tristesse qui est la conscience
des événements il n'y en a pas, c'est le terme, le temps de la décadence
si l'on lit - lire est une surface ?
oui, de papier-peint ancien qui relie
les animaux les laitues et les seins
l'étude est spongieuse
la voiture brûle la route, invisible toujours et venant de plus loin que la piscine, de plus loin que le vent du château et pourtant c'est plein soleil
on a été à Vichy
tous les vieux dansaient comme en leurs premiers jours des aventures invisibles et touchantes
cette histoire sans intrigue sans action se poursuivaient parmi les générations et les sexes indifférente aux arrangements de toute sorte - qui est avec qui, tes laitues naissent-elles ?
il y avait le noir de toutes les ex et de toutes les voitures, l'arbre, le déluré et le chat (blanc) écoutait en compagnie - probablement les voix, qu'est-ce qu'il y a à écouter ?
le noir le sombre le délicat
et le jour le clair le solaire quelle affaire...
les joies et les douleurs de ces amours et de ces couples
la mémoire de l'oubli
Vichy est une nappe à carreau, un bonbon à la menthe, une bouteille d'eau aussi : Vichy-St-Yorre
et la guerre cela commence à faire
la guerre ? naguère...
Cléelie repère les homophonies : en traits, entrée, je vais lui demander l'autre qu'elle m'avait dit... et ensuite, comme ça, on ira à la piscine...
ou alors je resterai
Labels: poésie
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