Gens du peuple
Ça aussi, c'est une nouvelle rubrique.
C'est pour répandre les nouvelles un peu chic.
Là, je demanderai quand même l'aide du lectorat. Parce que je n'suis au courant de rien - ou alors : à la fin, quand tout le monde l'est déjà. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais on n'me dit jamais rien et, quand on me dit enfin quelque chose, tout le monde le sait déjà depuis..., sans compter qu'on me fait jurer sur la tête de... de ne jamais en parler.
Tout ça m'échappe...
Ce n'est pas que ça m'passionne, mais, quand même, du chic chic, il faut en parler !
Par exemple
- donc -
j'ai appris ce que tout le monde savait, que X que j'aime beaucoup - "que j'adore" serait même l'expression la plus appropriée - était avec Y à qui je voue aussi une passion entière (qui venait d'ailleurs de se transformer enfin en tendresse la nuit de Noël), eh bien, voyez-vous, c'est tellement formidable que j'ai envie, mon Dieu, de le crier sur les toits ! Je suis si heureux que les gens soient heureux. Mais non, on me fait promettre de ne pas l'écrire sur mon blog, patati, patata.
Bon, moi : bon soldat, moi : obéir aux gens moi aimer. (Et comme moi aimer gens du peuple, moi compris.)
Mais, quand même, il ne faut pas que cette rubrique reste vide à peine née, nom de Dieu ! Avortée.
Alors, voici quand même quelque chose pour aujourd'hui : Jonathan Capdevielle va jouer (Jerk) à New-York du 7 au 17 janvier devant Matthew Barney et Björk ! Ils ont envoyés un mail à Giselle Vienne pour réserver. Madame, s'il vous plaît, nous aimerions, si c'était possible, nous souhaiterions, avec votre permission, si ça ne dérange pas... Signé : Björk et Matthew Barney. Je ne sais pas quel jour exactement, Jonathan ne veut pas le savoir - bien que, vu le dispositif, il va forcément LES VOIR ! On s'est demandé ce qu'il se passerait s'il avait à jouer devant Madonna... On a conclu rapidement - lui et moi tout à fait d'accord - qu'il n'y arriverait pas. Il pourrait pas. Il ferait une annonce au début, "Je suis désolé..."
Pierre a immédiatement proposé d'écrire un duo pour Jonathan et Björk... Clélie a commandé un croque-monsieur, nous du pot-au-feu chilien (avec une salade patagonienne pour Pierre). On était bourré parce qu'il avait fallu attendre avec un Saint-Nicolas-d'Bourgueil à 22 plutôt qu'à 29, mais délicieux. Je pensais que Pierrot et Jo avaient bien travaillé et je me sentais une âme de producteur car, pour le moment, je ne faisais que donner mon avis. "Ça va marcher, coco", "Ça, c'est nul", "Plus de tripes", etc. J'avais envie de leur offrir le repas. Et puis, c'était Noël... Avec Clélie, dans l'après-midi, on était allé au parc de Bercy puis aux manèges de la place de la Bastille. On avait tout fait en taxi comme les riches. Les chauffeurs de taxi avaient tous été de jeunes Rebeus (pas des rebuts, attention) et, pour une fois, ç'avait été RESPECT (à cause de la p'tite : ils aiment les enfants). Ça me consolait du coup d'boule que j'avais reçu à Lyon deux jours auparavant et qui m'empêchait toujours d'ouvrir la bouche en mangeant - oui : en mangeant...
C'est pour répandre les nouvelles un peu chic.
Là, je demanderai quand même l'aide du lectorat. Parce que je n'suis au courant de rien - ou alors : à la fin, quand tout le monde l'est déjà. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais on n'me dit jamais rien et, quand on me dit enfin quelque chose, tout le monde le sait déjà depuis..., sans compter qu'on me fait jurer sur la tête de... de ne jamais en parler.
Tout ça m'échappe...
Ce n'est pas que ça m'passionne, mais, quand même, du chic chic, il faut en parler !
Par exemple
- donc -
j'ai appris ce que tout le monde savait, que X que j'aime beaucoup - "que j'adore" serait même l'expression la plus appropriée - était avec Y à qui je voue aussi une passion entière (qui venait d'ailleurs de se transformer enfin en tendresse la nuit de Noël), eh bien, voyez-vous, c'est tellement formidable que j'ai envie, mon Dieu, de le crier sur les toits ! Je suis si heureux que les gens soient heureux. Mais non, on me fait promettre de ne pas l'écrire sur mon blog, patati, patata.
Bon, moi : bon soldat, moi : obéir aux gens moi aimer. (Et comme moi aimer gens du peuple, moi compris.)
Mais, quand même, il ne faut pas que cette rubrique reste vide à peine née, nom de Dieu ! Avortée.
Alors, voici quand même quelque chose pour aujourd'hui : Jonathan Capdevielle va jouer (Jerk) à New-York du 7 au 17 janvier devant Matthew Barney et Björk ! Ils ont envoyés un mail à Giselle Vienne pour réserver. Madame, s'il vous plaît, nous aimerions, si c'était possible, nous souhaiterions, avec votre permission, si ça ne dérange pas... Signé : Björk et Matthew Barney. Je ne sais pas quel jour exactement, Jonathan ne veut pas le savoir - bien que, vu le dispositif, il va forcément LES VOIR ! On s'est demandé ce qu'il se passerait s'il avait à jouer devant Madonna... On a conclu rapidement - lui et moi tout à fait d'accord - qu'il n'y arriverait pas. Il pourrait pas. Il ferait une annonce au début, "Je suis désolé..."
Pierre a immédiatement proposé d'écrire un duo pour Jonathan et Björk... Clélie a commandé un croque-monsieur, nous du pot-au-feu chilien (avec une salade patagonienne pour Pierre). On était bourré parce qu'il avait fallu attendre avec un Saint-Nicolas-d'Bourgueil à 22 plutôt qu'à 29, mais délicieux. Je pensais que Pierrot et Jo avaient bien travaillé et je me sentais une âme de producteur car, pour le moment, je ne faisais que donner mon avis. "Ça va marcher, coco", "Ça, c'est nul", "Plus de tripes", etc. J'avais envie de leur offrir le repas. Et puis, c'était Noël... Avec Clélie, dans l'après-midi, on était allé au parc de Bercy puis aux manèges de la place de la Bastille. On avait tout fait en taxi comme les riches. Les chauffeurs de taxi avaient tous été de jeunes Rebeus (pas des rebuts, attention) et, pour une fois, ç'avait été RESPECT (à cause de la p'tite : ils aiment les enfants). Ça me consolait du coup d'boule que j'avais reçu à Lyon deux jours auparavant et qui m'empêchait toujours d'ouvrir la bouche en mangeant - oui : en mangeant...
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