Résumé de l'opérette
Marseille Massacre
Résumé :
Quelqu'un s'exerce à dire "le port" en marseillais, c'est-à-dire avec l'accent marseillais. A la longue, il y arrive - mais l'opérette ne se passera pas dans le port. C'est le prologue.
La dernière pute du centre-ville dit au barman qu'ils vont devoir dégager. Elle l'a appris d'un policier municipal qu'elle suce régulièrement. Le barman ne veut pas repartir à Toulon.
Maintenant c'est à votre tour, dit aux rémistes l'élu, passé des affaires sociales à la culture, et qui cherche à se faire plaindre. Ça marche.
Interlude : reprise du Petit Cabanon.
L'élu rend compte de sa réussite au maire de Marseille, qui n'a jamais eu qu'un seul rêve : être le maire de Marseille (hymne du maire de Marseille).
Arrive le footballeur ; il a des problèmes ; il n'est pas très sûr de lui malgré le succès. Premier duo avec la pute, ils ont l'air de bien s'entendre.
Les dockers n'ont pas l'intention de se laisser faire par l'élu, qui finit par les embobiner en leur parlant de la mer et de visibilité. Les policiers sont eux aussi très en forme. Les dockers font leur mea culpa en se frappant la poitrine.
Déprime de la pute et du footballeur ; heureusement, la prof néo-libérale a plein d'idées de réformes pour l'éducation nationale.
Les minots arrivent alors, plutôt relax (ils roulent sans casque, ils dealent du caramel, etc). Discussion assez serrée avec la prof, qui ne parvient pas spécialement à les convaincre que recopier un article du code pénal sans faute d'orthographe (contre du caramel) est un bon début dans la vie.
Ça ne marche pas, donc. Intervention de l'élu, mais la conversation entre lui et les minots se perd dans des histoires de chat (en particulier, comment soigner la conjonctivite chez le chat).
Finalement, on s'aperçoit que la pute est devenue footballeur et vice-versa.
Tout le monde se retrouve en chantant des choses pas très claires.
Nathalie Quintane
Résumé :
Quelqu'un s'exerce à dire "le port" en marseillais, c'est-à-dire avec l'accent marseillais. A la longue, il y arrive - mais l'opérette ne se passera pas dans le port. C'est le prologue.
La dernière pute du centre-ville dit au barman qu'ils vont devoir dégager. Elle l'a appris d'un policier municipal qu'elle suce régulièrement. Le barman ne veut pas repartir à Toulon.
Maintenant c'est à votre tour, dit aux rémistes l'élu, passé des affaires sociales à la culture, et qui cherche à se faire plaindre. Ça marche.
Interlude : reprise du Petit Cabanon.
L'élu rend compte de sa réussite au maire de Marseille, qui n'a jamais eu qu'un seul rêve : être le maire de Marseille (hymne du maire de Marseille).
Arrive le footballeur ; il a des problèmes ; il n'est pas très sûr de lui malgré le succès. Premier duo avec la pute, ils ont l'air de bien s'entendre.
Les dockers n'ont pas l'intention de se laisser faire par l'élu, qui finit par les embobiner en leur parlant de la mer et de visibilité. Les policiers sont eux aussi très en forme. Les dockers font leur mea culpa en se frappant la poitrine.
Déprime de la pute et du footballeur ; heureusement, la prof néo-libérale a plein d'idées de réformes pour l'éducation nationale.
Les minots arrivent alors, plutôt relax (ils roulent sans casque, ils dealent du caramel, etc). Discussion assez serrée avec la prof, qui ne parvient pas spécialement à les convaincre que recopier un article du code pénal sans faute d'orthographe (contre du caramel) est un bon début dans la vie.
Ça ne marche pas, donc. Intervention de l'élu, mais la conversation entre lui et les minots se perd dans des histoires de chat (en particulier, comment soigner la conjonctivite chez le chat).
Finalement, on s'aperçoit que la pute est devenue footballeur et vice-versa.
Tout le monde se retrouve en chantant des choses pas très claires.
Nathalie Quintane
Labels: opérette
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