Sandra Iché
(Dans la série "Les Meilleurs partent toujours les premiers"...)
Sandra Iché Tu les as lâchés pour la potée, Yves-Noël ? Ça t'a fait du bien, cette soirée parisienne ? Merci pour l'évanescence du voyage de cette semaine : si le Claudel nous a traversés, c'est que ce long bain d'intensités électives avait ouvert l'espace. Je vous embrasse.
Yves-Noël Genod "L'évanescence du voyage", t'es trop mignonne ! j'essaie de t'écrire (prochainement) un petit mot dans le but de te faire rougir...
Sandra Iché J'ai eu le petit mot. J'ai rougi. Même si je sais que tu as un petit peu exagéré (à peine). Je lirai les récits de la troisième semaine avec délectation. Love
Yves-Noël Genod Je ne suis pas sûr, loin de là, qu'on arrivera à faire aussi bien que ce qu'il s'est passé (le moment, par exemple, où tu as été chercher Mesure pour Mesure...) - difficile et risque de kitsch... On va voir (sous la pluie, en plus !) Bises
Sandra Iché, la beauté d'une déesse, l'énigme et le pouvoir et, pendant quelques jours, je n'ai eu que son rire : capable de se renverser de rire, sonorement, à quelques-unes de mes interventions, des saillies, des effets, des rapports avec les stagiaires, ça lui paraissait du plus haut comique ; j'ai même cru qu'elle devenait folle, non, elle montait en esprit : elle a déployée, le dernier jour, le samedi avant de prendre le car, entre quatorze heures trente et seize heures un paysage.
Je voulais te dire que le "pays Claudel" que tu as dégagé - comme levant les voiles, quelques voiles d'un artifice absolument léger, presque invisible - est le plus beau que j'ai vu de ma vie. Le spectacle que tu pourrais faire de ce pouvoir serait l'un de ceux que je désirerais le plus voir apparaître. Je veux encore voler comme un busard ou jouer dans une salle aux visages blancs des choses qui pénètrent dans les âmes.
Sandra Iché Tu les as lâchés pour la potée, Yves-Noël ? Ça t'a fait du bien, cette soirée parisienne ? Merci pour l'évanescence du voyage de cette semaine : si le Claudel nous a traversés, c'est que ce long bain d'intensités électives avait ouvert l'espace. Je vous embrasse.
Yves-Noël Genod "L'évanescence du voyage", t'es trop mignonne ! j'essaie de t'écrire (prochainement) un petit mot dans le but de te faire rougir...
Sandra Iché J'ai eu le petit mot. J'ai rougi. Même si je sais que tu as un petit peu exagéré (à peine). Je lirai les récits de la troisième semaine avec délectation. Love
Yves-Noël Genod Je ne suis pas sûr, loin de là, qu'on arrivera à faire aussi bien que ce qu'il s'est passé (le moment, par exemple, où tu as été chercher Mesure pour Mesure...) - difficile et risque de kitsch... On va voir (sous la pluie, en plus !) Bises
Sandra Iché, la beauté d'une déesse, l'énigme et le pouvoir et, pendant quelques jours, je n'ai eu que son rire : capable de se renverser de rire, sonorement, à quelques-unes de mes interventions, des saillies, des effets, des rapports avec les stagiaires, ça lui paraissait du plus haut comique ; j'ai même cru qu'elle devenait folle, non, elle montait en esprit : elle a déployée, le dernier jour, le samedi avant de prendre le car, entre quatorze heures trente et seize heures un paysage.
Je voulais te dire que le "pays Claudel" que tu as dégagé - comme levant les voiles, quelques voiles d'un artifice absolument léger, presque invisible - est le plus beau que j'ai vu de ma vie. Le spectacle que tu pourrais faire de ce pouvoir serait l'un de ceux que je désirerais le plus voir apparaître. Je veux encore voler comme un busard ou jouer dans une salle aux visages blancs des choses qui pénètrent dans les âmes.
Labels: stage correspondance
0 Comments:
Post a Comment
<< Home