Le Réveil des travailleurs chinois
On est si éloigné de "l'actualité" que, quand je tombe sur le journal "Le Monde", j'ai l'impression d'une contrefaçon (d'une parodie). Physiquement, je ne reconnais pas le journal ni la véracité des informations qui me paraissent extraordinaires (dans un sens invraisemblable, anachronique).
Le réveil des travailleurs chinois, Les souffrances du Colisée de Rome, Les "Bleus du dimanche", Le voleur de goûter met le tribunal à l'épreuve...
Ça annoncerait le guerre, peut-être cela me paraîtrait aussi fictif (futile). Et peut-être, cela l'annonce-t-il... Ici, nous ne recevons que les faux journaux. Des parodies, des contrefaçons... Un paquet était aussi arrivé lundi au nom d'Arnaud Guy - avant son arrivée et avec l'étiquette (sur le gros paquet) : DANGEREUX. C'était embêtant. En fait, c'était pour un feu d'artifice qu'il a organisé hier au soir : chaque participant du stage a allumé une fusée en prononçant les mots de Twin Peaks : FIRE WALKS WITH ME. Quelle attention pleine d'imagination ! Arnaud Guy... On reparlera de ce gars. Bon allez, je me lève, moi, le p'tit dèj... Last p'tit déj... (Je reprends tout à l'heure...)
A propos des journaux, on a aussi reçu, ce matin, "L'Equipe", avec ce titre que tout le monde, en France, a vu, j'imagine : "Va te faire enculer, sale fils de pute !" C'est bien de s'intéresser à tout comme ça. Dans cette phrase, Arnaud Guy était d'accord avec moi, c'est le "sale" qui fait vraiment sale... Retrouver la France...
Pourtant il y avait ce beau mot d'"insouciance"... (pour la rime, dans la chanson désuette). C'est ce que nous avons essayé, nous, ici, pendant trois semaines. Juin 2010, Pontempeyrat, Haute-Loire.
Le réveil des travailleurs chinois, Les souffrances du Colisée de Rome, Les "Bleus du dimanche", Le voleur de goûter met le tribunal à l'épreuve...
Ça annoncerait le guerre, peut-être cela me paraîtrait aussi fictif (futile). Et peut-être, cela l'annonce-t-il... Ici, nous ne recevons que les faux journaux. Des parodies, des contrefaçons... Un paquet était aussi arrivé lundi au nom d'Arnaud Guy - avant son arrivée et avec l'étiquette (sur le gros paquet) : DANGEREUX. C'était embêtant. En fait, c'était pour un feu d'artifice qu'il a organisé hier au soir : chaque participant du stage a allumé une fusée en prononçant les mots de Twin Peaks : FIRE WALKS WITH ME. Quelle attention pleine d'imagination ! Arnaud Guy... On reparlera de ce gars. Bon allez, je me lève, moi, le p'tit dèj... Last p'tit déj... (Je reprends tout à l'heure...)
A propos des journaux, on a aussi reçu, ce matin, "L'Equipe", avec ce titre que tout le monde, en France, a vu, j'imagine : "Va te faire enculer, sale fils de pute !" C'est bien de s'intéresser à tout comme ça. Dans cette phrase, Arnaud Guy était d'accord avec moi, c'est le "sale" qui fait vraiment sale... Retrouver la France...
Pourtant il y avait ce beau mot d'"insouciance"... (pour la rime, dans la chanson désuette). C'est ce que nous avons essayé, nous, ici, pendant trois semaines. Juin 2010, Pontempeyrat, Haute-Loire.
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