Sous la couette des nuages
Disparaître est un métier.
Pour vivre caché, vivons heureux.
Et si tout ceci n’était que de la fuite du temps ?
Balcon des apparences.
Quelqu’un dort, quelqu’un s’allonge… Il fait chaud, il fait doux.
Fenêtre ouverte. Fenêtre ouverte…
Mon pays : balcon des apparences
Et puis P. me lit (de Nicolas Restif de la Bretonne) :
L’Homme qui ne dépensait rien
Avec cette phrase (par exemple) : « Tout lui profite parce qu’il n’a de dégoût pour rien. »
Très Dickens, faudrait que je m’y remette (le livre proposé par Jeanne Balibar).
« Avant d’aller chez la Marquise, je faisais toujours quelqu’excursion, afin de maintenir dans l’abondance mon magasin d’anecdotes. »
Il était 23h12, P. avait dormi deux ou trois heures donc nous étions décalés (de nouveau). P. citait
Sur les corps morts, il emploie cette expression « la dissolution végétale » qui fait penser à Michel Houellebecq (et dont nous avions parlé la veille chez Jean-Marc).
Pour vivre caché, vivons heureux.
Et si tout ceci n’était que de la fuite du temps ?
Balcon des apparences.
Quelqu’un dort, quelqu’un s’allonge… Il fait chaud, il fait doux.
Fenêtre ouverte. Fenêtre ouverte…
Mon pays : balcon des apparences
Et puis P. me lit (de Nicolas Restif de la Bretonne) :
L’Homme qui ne dépensait rien
Avec cette phrase (par exemple) : « Tout lui profite parce qu’il n’a de dégoût pour rien. »
Très Dickens, faudrait que je m’y remette (le livre proposé par Jeanne Balibar).
« Avant d’aller chez la Marquise, je faisais toujours quelqu’excursion, afin de maintenir dans l’abondance mon magasin d’anecdotes. »
Il était 23h12, P. avait dormi deux ou trois heures donc nous étions décalés (de nouveau). P. citait
Sur les corps morts, il emploie cette expression « la dissolution végétale » qui fait penser à Michel Houellebecq (et dont nous avions parlé la veille chez Jean-Marc).
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