La Nuit secouée par la portière
Cette nuit, je me réveille pour noter un titre. La Nuit secouée par la portière. Que je rectifie en mettant : (fenêtre). Mais c’est le premier titre qui est le bon. Comme toujours le mot a la suzeraineté sur la sensation (le mot inconscient, la sensation faussée par la conscience, la rectification). Ce titre, j’aimerais en faire un spectacle – mais on n’me propose plus rien, en ce moment, et, m’expliquer, je le fais, je vais le faire, mais tout ça est ennuyeux. Ils ont de tels problèmes, les programmateurs. En programmer un de plus, un de moins. Leur métier les ennuie. Tout est si lourd, si pénible. La vie en société. Avec toutes ces inventions distrayantes. Et le souci de la foule. La seule santé : les politiques. Ils sont au cœur du système. Mais à quel prix ! Et les industriels, les banquiers. Loin de La Nuit secouée par la portière (Le Désir attrapé sur le toit.) Et les savants, s’amusent-ils ? Reste à lire des poèmes simples, les poèmes de tout le monde, reste à voir les spectacles de tout le monde…
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