Sunday, November 28, 2010

Qu'allons-nous faire ?

« A un jeu de questions-réponses, Denis de Rougemont lui avait demandé : « Qu’est-ce que le génie ? », et du tac au tac Marcel Duchamp avait répondu : « L’impossibilité du fer ». »

« Mais qu’allons-nous faire de tout cet amour ?
Le montrer ou bien le taire ? »

« Le fait est que les gens mourraient dans le noir et que jusqu’à présent, soixante-cinq ans après les événements, aucune (image) n’est apparue. »

« Il faisait froid, il y avait encore de la neige, plus sale que blanche (…) »

« L’humanité, disait Marx, ne se pose que les problèmes qu’elle peut résoudre. »

Le fleuve, « eaux musculeuses »…

« Il n’était ni oublieux ni guéri du passé atroce dont il avait été l’acteur et trouvait juste de répondre à tout moment aux sommations qu’on pouvait lui adresser. »

« Claude, si vous pouviez lécher mon cœur, vous seriez empoisonné. »

« J’ai commencé à boire après la guerre, lorsque je suis monté sur cette tombe immense ! »

Les paysages, Shoah. Il y a quelque chose avec les paysages et la littérature. Probablement. Même Emmaüs... Et puis cet endroit où sont les truites, le Brevon, préhistorique... Le marais tufeux. Saint-Germain-le-Rocheux (moins de cents habitants)…

« (…) les quatre saisons de la mort (…) »

« (…) deux rails d’acier bleui (…) »

« A quatre heures de l’après-midi, nous étions sur nos lits, attendant le dîner, mot aussi creux que nos estomacs (…) »

« La mort ne désempare pas. »

L’incroyable douleur du cœur et de la joie
On ne peut pas s’aimer en soi
Avec ses petits arrangements, ménagements
Le personnel, ce n’est pas ça – nous l’humanité – qui nous désaltère

Titre spectacle :

Ce soir est une impression

(Une série de solos, mais où les autres participants (des autres solos) doivent faire la figuration (donc ce ne sont pas des solos). C’est-à-dire toute une équipe – et protagoniste. Peut-être même une histoire qui se poursuit d’un jour à l’autre.)

« Je suis prêt à tout pour être ridicule. »

Les grands voyages au creux de la plainte

L’amour flou vide invaincu – l’organiser.

Le paysage, je vis, je vu, ce blog est le paysage, en est le paysage. Le poids du passé, le poids du passé, léger, de la terre, de la terre qui n’a pas de poids, légère, par la lumière, son aura, par la lumière, sa récolte, par la lumière, la nuit-mère, par la lumière et dans le ciel plein d’étoiles, la faucille y est lâchée.

« Les stratégies de pouvoir, les manigances médiatiques lui étaient étrangères, l’effacement sa loi. »

Barbara, la Shoah, le mal n’existe pas…

« Mais une zone « rose » s’ouvre… »

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