« Dans la technique et la stratégie qui consiste à être toujours là et jamais là, Stendhal a été un grand professionnel. »
La littérature est un espace de non-retour, c’est ce que j’invente aujourd’hui.
Si je n’étais pas si paresseux, je n’inventerais pas ce que j’ai déjà inventé.
Oui (parce que je vous parle, ici…)
Bergen, les chats, ou Babylone, la rue, La Pagode…
Voilà des espaces de non-retour, ce sont des lieux… Des ruines intenses. Vibrantes. Nuageuses. Colorées.
Le gris souris, le gris puissant qui a commencé la journée vers midi…
Voilà maintenant qu’il colore la page vers le soir…
Il rend les mots insignifiants, noir sur blanc, insignifiants, en rendant le noir gris et le blanc gris… La lecture luit, luit jusqu’à ne plus tendre et défaire et défaire comme un espace insignifiant…
Il y a eu le bonheur, c’est un fait, et la littérature est là pour rendre un fait.
Rendre compte d’un fait et de préférence d’un fait dont on ne peut pas parler facilement parce qu’on ne peut rien en dire, pourquoi ? parce qu’on ne peut rien en dire aux autres. C’est ça, le drame.
Si c’est du bonheur, de l’amour, on ne peut rien en dire aux autres parce que les autres le tueraient.
Ce bonheur, cet amour.
C’est pour ça que les autres ne savent rien. C’est dommage, ça, mais les autres ne savent rien. C’est un fait.
« Il contempla son visage. Rencontra ses yeux dans le miroir ; fut sur-le-champ rempli d’arrogance. Je peux bien le faire si je n’en parle pas. »
« Ce n’était pas vraiment une pensée nouvelle, c’est seulement qu’elle semblait nouvelle à chaque fois, et aussi mauvaise chaque fois. » Le gris large de la musique qui n’en finit pas…
La clandestinité est toute la nuit.
Pour vivre cachés, vivons heureux.
Indiquer le cheval. C’est selon. Où va le vent. Le cheval.
L’air dont on a la mémoire. La « cloche » qui sonne. (Si on ôtait le piano… Le long, lent piano sans avancée, sans durée…)
Je vais faire le tour de tout ce que j’ai déjà fait.
Si je n’étais pas si paresseux, je n’inventerais pas ce que j’ai déjà inventé.
Oui (parce que je vous parle, ici…)
Bergen, les chats, ou Babylone, la rue, La Pagode…
Voilà des espaces de non-retour, ce sont des lieux… Des ruines intenses. Vibrantes. Nuageuses. Colorées.
Le gris souris, le gris puissant qui a commencé la journée vers midi…
Voilà maintenant qu’il colore la page vers le soir…
Il rend les mots insignifiants, noir sur blanc, insignifiants, en rendant le noir gris et le blanc gris… La lecture luit, luit jusqu’à ne plus tendre et défaire et défaire comme un espace insignifiant…
Il y a eu le bonheur, c’est un fait, et la littérature est là pour rendre un fait.
Rendre compte d’un fait et de préférence d’un fait dont on ne peut pas parler facilement parce qu’on ne peut rien en dire, pourquoi ? parce qu’on ne peut rien en dire aux autres. C’est ça, le drame.
Si c’est du bonheur, de l’amour, on ne peut rien en dire aux autres parce que les autres le tueraient.
Ce bonheur, cet amour.
C’est pour ça que les autres ne savent rien. C’est dommage, ça, mais les autres ne savent rien. C’est un fait.
« Il contempla son visage. Rencontra ses yeux dans le miroir ; fut sur-le-champ rempli d’arrogance. Je peux bien le faire si je n’en parle pas. »
« Ce n’était pas vraiment une pensée nouvelle, c’est seulement qu’elle semblait nouvelle à chaque fois, et aussi mauvaise chaque fois. » Le gris large de la musique qui n’en finit pas…
La clandestinité est toute la nuit.
Pour vivre cachés, vivons heureux.
Indiquer le cheval. C’est selon. Où va le vent. Le cheval.
L’air dont on a la mémoire. La « cloche » qui sonne. (Si on ôtait le piano… Le long, lent piano sans avancée, sans durée…)
Je vais faire le tour de tout ce que j’ai déjà fait.
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