Ne pas proposer de miroir
Le genre de travail que je fais, que je propose, a l’obligation de se passer bien. Sinon rien. Sinon il n’a pas lieu. Hors la fin de ce séjour est bien secouée. Romain vient de se faire agresser au couteau (pour son fric), Duncan se fait agresser au rouleau à pâtisserie et m’agresse à son tour. Le filage de ce soir est annulé. Et on discute de la situation. La présentation de la pièce prévue (même devant quelques personnes) me semble compromise. Nous sommes fatigués – et si nous ne présentions rien ? – si c’est si dur… La vie doit être douce, je veux dire la vie du théâtre – sinon ce n’est pas la peine d’en faire, d’en reproduire. Comme disait Jeanne : l’éternel cinéma autrichien. Ne pas proposer de miroir.
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