La Fin des sentiments
Je suis dans la cloche, dans la joie, dans Dieu. Mes fenêtres sont un miroir. Joie du dimanche sans dimanche, aller de sieste en sieste. Grimpe et gravite l’estomac. La dent arrachée, la dent meulée, la dent rouée. Je suis à Avignon, sans doute incognito.
L’immense chantier des cloches tel que le sommeil le définit. Elle est comme dans les lettres de l’océan.
Restons amants des hôtels sombres… Au danger mélangé
Restons amants des plages vides…
Restons amants des impatiences…
Labels: avignon poésie
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