Relecture du cœur
Je relis le texte de Pierre et, là où je n’ai pas pleuré, je repleure. Le relirai-je sans fin ?
Le luxe, encore, faut-il travailler pour vivre ? Johannes m’as mis dans un appartement de luxe, extrêmement silencieux, traversé d’air, de lumière, avec ce seul détail effrayant : le chat obèse…
Johannes dort dans le train d’avoir trop baisé.
« Ah ! cruel, tu m’as trop entendue !
Je t’en ai dit assez pour te tirer d’erreur.
Eh bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur.
J’aime. »
Labels: malmö
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