Joëlle de la radio
Photo François Stemmer.
Yves-Noël Genod
Merci infiniment pour ce que tu as fait, Joëlle, pour moi, inoubliable, pardon pour ta peur que je n'ai pas ressentie, et merci pour ta confiance, au contraire, que j'ai ressentie très fort (mais Régy dirait qu'on peut à la fois ressentir de la peur « et » de la confiance, être « et » ne pas être...) C'était infiniment merveilleux de t'entendre vivante parler de moi et que... je est un autre... il s'agissait d'un autre que moi, ça me libérait ! Tu nous libérais d'un spectacle que nous n'avions pas vu, que nous n'aurions jamais vu, mais, peu nous importait car, toi, tu étais vivante. C'était particulièrement beau aujourd'hui. J'étais assis à côté de Nadia Lauro, plasticienne, qui m'avait fait connaître la plus belle performance que je n'ai jamais vue de ma vie, une de Trisha Donnelly, je te raconterai un jour pourquoi, pour moi, c'est la plus belle, dans un genre pour lequel je n'ai habituellement pas de réelle attirance – et j'étais content car j'y avais pensé déjà avec toi, je ne t'en avais pas parlé (tant à dire), mais j'étais content d'y repenser d'autant plus aujourd'hui d'être assis juste à côté de Nadia Lauro. J'adorais, par exemple, le moment où tu enlevais ton pardessus de cuir rose, je crois, et que tu le posais sur la chaise... du pur Trisha Donnelly, je te dis ! Bises encore Yves-Noël
Joëlle Gayot
Merci à toi de m'avoir permis de vivre une expérience dont je ne m'attendais pas à la vivre un jour ! Ça m'a ouvert les yeux sur des réalités que je ne soupçonnais pas et j'ai beaucoup aimé, malgré le trac croissant de jour en jour, ces moments passés avec vous. Je reprends le cours critique de ma vie, j'ai l'impression d'avoir passé un mois en terre inconnue. Je m'en souviendrai les prochaines fois que je m'assierai dans une salle et que je regarderai entrer des acteurs ! je t'embrasse
Joëlle
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