Il n’y a pas de solitude.
C’est sordide à dire, mais il n’y a pas de solitude. On est fait pour baiser
ensemble en continu. C’est ce que je découvre dans ce stage au titre bien
trouvé, « Jouer Dieu », au titre bienheureux. Sous-titre : « Guérir
l’homosexualité ». Il n’y a plus d’homosexualité car il n’y a plus de
limites. Fini l’âge baroque, les plis dans les sens, les sens dans les plis, la
raison est comme un bon gros chien. Ça baise. Jour-nuit. Dieu veut. Dieu a vu
que cela était bon.
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