Fast food, living nostalgia
Heureux – pourquoi ne pas le
dire ? – heureux comme libéré, heureux comme jouissance, comme soulagement
– pas comme rencontre encore, pas comme rencontre... – ou au passé, au passé, wallow
in nostalgia – oh, la rencontre,
certes au passé, certes au passé.
Fragments d’étés, fragments
de livres, de chaleur éternelle – de livres brûlés, mais de joie. De livres
brûlés de joie. La chaleur éternelle, la chaleur capitale.
« Il n’y avait rien à
faire, ici, les livres fondaient dans les mains. Et les histoires tombaient en
pièces sous les coups sombres et silencieux des frelons à l’affût. Oui, la
chaleur lacérait le cœur. »
Oui, mes oreilles sourdes
écoutent la musique sans cœur. Sans cours de musique.
Oh, cette vie ! Violente… Ta voix virile. Toujours ta voix. C’est toujours ta voix. Toujours.
Ton épaule de voix violente. « La tristesse de la
chaleur, l’angoisse du soleil. » Un livre, ça ne se fait
jamais seul. Avec la voix, la voix qui
parle avec la même sève violente. Sa nature de femme. Scénario au long cours,
partons donc du soleil… Fragilité de la terre-vie. Nuit, je t’adore, c’est ça, le
sens, nuit, je t’adore… As far as nightmares went, this one was a lulu.
0 Comments:
Post a Comment
<< Home