Septembre éternel
Pendant tout ce temps, je respire, je vis. La vérité si je mens.
Déposés à Deauville sur la
plage courir vers l’hôtel Royal.
Nouvelle : on ne parle
jamais de toi dans ce que tu lis, jamais de toi.
Désapprentissage de la
réalité.
La liberté d’avoir avec soi
son cadavre, mais pas encore, de pouvoir l’utiliser.
Labels: poésie
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