Ça, c’est un texte d’art brut qu’Emmanuel avait publié dans les années 90 dans un journal qui s’appelait « La Porte », très beau journal, il en a des exemplaires reliés dans sa maison de campagne. Je lui en reparle, il me dit : lis ça. J’ai immédiatement envie d’en faire qqch au théâtre, le texte est sublime. On dirait un peu du Pierre Guyotat (c’est-à-dire ce qui est sublime en français). Plus tard, je parle de cette envie pour expliquer pourquoi c’est difficile pour moi d’annoncer des « projets » — parce que les projets aucun ne serait assez bon par rapport à celui qui pourrait surgir au débotté. Ce n’est pas moi qui décide, c’est le monde. Aujourd’hui (pour demain), on travaillerait sur —
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