Je ne sais pas si on peut faire qqch d’Avenue Fuck. Il y a un nom qui claque, mais c’est un projet virtuel. 2 jours et demi de tournage dans un appartement fantôme. Avec un iPhone (sans vouloir faire de pub). Je rencontre Marc Domage à Beaubourg (avant-spectacle) : « Ah, tu m’as pas mis sur ce coup, hein ? » « J’ai pas osé. » Non, je me suis amusé, moi, comme aux premiers jours des répétitions, des auditions (que j’adore...) On est seul, disponible. Les comédiens sont seuls, disponibles. Il n’y a pas d’enjeu, c’est le début. On s’amuse. Et, en fait, c’est le spectacle. (Tout le travail, ensuite, consistera à retrouver cette qualité de... nostalgie..., de paradis perdu.) Je ne sais pas si ça va se produire avec ce film. Je suis débutant. Je ne pense pas qu’il y ait assez de matière*. Mais, demain, je vois une monteuse (professionnelle) qui va visionner et me donnera son avis.
* assez d’eau, assez de liquide...
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