Marlène mange un os avec du sel
Rêvé de Marlène. Saldana. Je dis le nom parce qu’il y en a une autre, de Marlène. Dans la danse, il y a Marlène Monteiro Freitas. Pourquoi j’ai rêvé ? Parce que, hier, j’ai ressorti une très belle photo de Marlène (de Marc Domage) qui avait servi pour une expo à la Ménagerie de verre et que j’ai l’idée d’offrir à Marie Vachette (dont ça a été l’anniversaire) puisque elle veut faire un film avec Marlène (pour l’encourager). Mais j’ai rêvé aussi, peut-être, parce que je voudrais refaire une psychanalyse (c’est une méthode où l’on doit se souvenir de ses rêves sinon on n’a rien à raconter). Ou alors, raison technique, j’ai remarqué que je me souviens de mes rêves quand j’ai un peu froid, quand je me suis découvert et c’est vrai dans ce cas encore : je me suis rendormi après avoir retrouvé les couvertures. Bien sûr, dans le rêve, il s’agissait de mise en scène, je ne vais pas faire comme si ça ne me manquait pas : chaque fois que je rêve, pour autant que je m’en souvienne, il s’agit de mise en scène. Il y avait un projet de stage aussi. J’y croisais beaucoup de gens, beaucoup d’espaces, beaucoup de couleurs (je ne suis donc pas déprimé puisque c’est en couleurs) et j’y croisais, après une performance de Marlène, les Grand Magasin qui, je me demandais, faisaient un peu la gueule, mais, ça, c’était peut-être parce qu’ils ont dit récemment dans une interview qu’ils n’allaient jamais au théâtre, qu’ils n’aimaient rien et que je me souviens avoir pensé qu’ils venaient au contraire beaucoup me voir. Il est vrai que ce n’est peut-être pas du théâtre, ce que je fais, ce n’est peut-être rien, ce n’est peut-être tout. Plus rien.
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