Saturday, February 23, 2013

Pays et paysages


C’est un printemp qui nait de l’intérieur du temp. Il y a les oiseaux qui amplifient le temp. Bien sûr, on n’est pas sur l’île de Ré, la réserve. Mais on n’est pas loin. Il y a un chantier, le chien aboie. De si loin. La nuit. Et le matin, la corneille. Le merle. La mouette.

Lorsque de l’extérieur parviennent les sons, ils sont très vastes, très intérieurs, très étouffés, grâce aux fenêtres double-vitrages. 

Le paysage s’ouvre sur un nouveau pays : l’Italie. Il n’y a pas de réel, il y a l’occupation des hommes au réel. 



Dans mon paysage, dans mes montagnes, il y a mes zones, il y a les zones de mon amour. Il y a la Toscane particulière. Et si je me frotte les yeux, je vois. Si je me frotte l’oreille, j’entends. Si je me frotte la bouche, j’embrasse. J’embrasse l’Italie et ses merveilles, les étangs et les lacs.

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