Saturday, March 02, 2013

Dormir demande 1000 nuits de pitié


« De l’homme impossible de rien savoir sinon qu’on est jamais à l’abri d’une surprise) » et de la femme : déjà traverser la misogynie. 

En Allemagne, je marchais et je rencontrais, à la gare, l’homosexuel. Heureusement, je le rencontrais pas. Il s’en fallut de peu. Quand vous ne savez pas où dormir...
A Londres aussi je rencontrais l’homosexuel. Quand vous ne savez pas où dormir... 
On ne peut pas dire qu’il y ait du sexe. Il y a une espèce de gymnastique qu’il faut bien honorer. Quand on ne sait pas où dormir. La langue anglaise. La langue allemande. Le pays européen faussement relié par l’homosexualité. De toute façon, l’excitation est si forte, si rare, qu’il ne se passe rien. Qu’une vitesse où il ne s’est rien passé. De ce point de vue-là, tout le monde est d’accord.



J’aimerais sortir au café et boire.



Dormir demande 1000 nuits de pitié.

Labels:

0 Comments:

Post a Comment

<< Home