Le Théâtre
« Disparaissez-moi ! »
Voilà !
les heures sombres (mais la langue lumineuse) de Musset, c’est fini. Merci à
tous ! et aux propriétaires de ces lieux traversés, aux intermédiaires
aussi qui nous ont mis en contact, aux journalistes, à La Condition des soies
au soutien souple et agréable, au public enfin : aux amis et à ceux qui le sont devenus… Prochaines étapes : 1er avril aux Bouffes du Nord, à Paris (du 1er
au 12 avril, mais avec peut-être déjà une avant-première le 6 ou 7 septembre…),
Actoral, à Marseille, les 8 et 9 octobre (titre : Pour une fois que
nous ne sommes pas morts)
et un stage à Vitry, près de Paris, du 14 au 25 octobre, j’en dirai un peu plus
dans les jours qui viennent…
Là, ce qui me
ferait plaisir, c’est qu’on m’offre une place pour le Romeo Castellucci tout à
l’heure (avant que je prenne la route…), je sais, c’est un cadeau difficile à
pourvoir… (mais vous m’aimez tellement…)
Ce qui m’a fait plaisir avec cette étape, c’est de constater que, même si je n’ai plus de travail, même si je n’ai plus de théâtre, je pourrais jouer encore, dans presque n’importe quelle situation, je pourrais jouer, lire dans des salons et que c’était déjà, tout entier, le théâtre…
Ce qui m’a fait plaisir avec cette étape, c’est de constater que, même si je n’ai plus de travail, même si je n’ai plus de théâtre, je pourrais jouer encore, dans presque n’importe quelle situation, je pourrais jouer, lire dans des salons et que c’était déjà, tout entier, le théâtre…
Labels: avignon
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