L a Nuit à Marseille
Jean-Christophe Cavallin
Merci pour cette gymnopédie,
ce tour de piste. C'est très beau, cette voix captive, satellite d'un corps nu
qui fait le tour de sa nudité...
:-) Merci pour ta beauté, ta fidélité, ta sensibilité... Ce soir, je vais
m'endormir avec toi à Marseille car je n'ai personne d'autre à qui penser...
(mais comme je dis : toi, c'est bien !)
« Peu d'auditeurs des Gymnopédies (1888) d'Erik Satie connaissent l'origine de ce mot
grec. À Sparte, lors du passage de l'enfance à l'adolescence, les rites d'initiation
du futur citoyen se terminaient par les gymnopédies. Les garçons subissaient
une longue station debout, exposés nus en plein soleil, parmi les chœurs de
danse. Ces fêtes célébrées en l'honneur d'Apollon auraient été organisées pour
la première fois par Thalétas de Crète (- VIIe s.). Les athlètes des jeux
(lancement du javelot, du disque, etc.) rythmaient leurs évolutions au son de
la flûte ; des scènes de chasse et autres sports étaient mimées par de jeunes
Lacédémoniennes nues, dont les Athéniens se moquèrent en les traitant de
phénomérides (« montreuses de cuisses »). »
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