P leurer
Ce que je peux
dire encore sur ces films : je pense qu’on ne peux pas dire plus, que l’humanité ne peut pas dire plus
sur elle-même que ce qui est dit dans ces films. J’en suis même sûr. Exactement
sûr. On ne peut pas dire plus que ce qu’on dit — qui dit tout ce qu’on peut
dire. C’est pour ça, pour ça que ça paraît immense, parce que tout est dit.
« Sur la tombe de Bill Douglas, dans le petit cimetière de Bishop’s Tawton (Devon), sont gravés ces mots : « We only have to love one another to know what we must do » (« Il suffit de s’aimer les uns les autres pour savoir ce qu'on doit faire »). »
« Sur la tombe de Bill Douglas, dans le petit cimetière de Bishop’s Tawton (Devon), sont gravés ces mots : « We only have to love one another to know what we must do » (« Il suffit de s’aimer les uns les autres pour savoir ce qu'on doit faire »). »
L’homme qui a
sauvé Bill Douglas s’appelle Peter Jewell (presque comme « bijou »,
« jewel »). Ils ont vécu 35 ans ensemble « as platonic partners
(so Jewell insists) » Mais les 2 enfants affreux de ses films sont morts,
l’un par suicide et Jamie de drogue, etc., à l’âge de 38 ans, l’âge où Bill a
commencé à tourner son enfance avec lui, cet enfant-double.
« A lonely
dog howls in the silence. The howl spreads across the dark landscape and
dies. »
Labels: paris
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