Monday, September 16, 2013

P leurer


Ce que je peux dire encore sur ces films : je pense qu’on ne peux pas dire plus, que l’humanité ne peut pas dire plus sur elle-même que ce qui est dit dans ces films. J’en suis même sûr. Exactement sûr. On ne peut pas dire plus que ce qu’on dit — qui dit tout ce qu’on peut dire. C’est pour ça, pour ça que ça paraît immense, parce que tout est dit. 



« Sur la tombe de Bill Douglas, dans le petit cimetière de Bishop’s Tawton (Devon), sont gravés ces mots : « We only have to love one another to know what we must do » (« Il suffit de s’aimer les uns les autres pour savoir ce qu'on doit faire »). »



    
L’homme qui a sauvé Bill Douglas s’appelle Peter Jewell (presque comme « bijou », « jewel »). Ils ont vécu 35 ans ensemble « as platonic partners (so Jewell insists) » Mais les 2 enfants affreux de ses films sont morts, l’un par suicide et Jamie de drogue, etc., à l’âge de 38 ans, l’âge où Bill a commencé à tourner son enfance avec lui, cet enfant-double.


  
« A lonely dog howls in the silence. The howl spreads across the dark landscape and dies. »

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