L e jour au sommeil, la nuit au devoir
Non, je cherche encore autre
chose. Je regarde Satyricon, de
Federico Fellini, parce que le héros ressemble à Bel-Ami, par ex, à 1h28s. Tout
m’est émotion. Même la France et le français. Il fait si peu de noir. Tout est
surexposé. Outré. Ensoleillé. Etablissement de noir. Nuit découpée au cordeau.
Ces images que je voyais
parmi les yeux d’enfants. Et du chien aveugle sur le chemin de pierre blanche,
de pierraille. S’il faut choisir dans sa
mémoire… ce chemin ou cette absence de chemin, mais qui prend forme. Avec la
boue ramassée — et l’eau. Et de nombreux châteaux, sur la route. Les merveilles
à regarder et à observer, les merveilles que personne ne voit (mais tout le
monde). Qui a dit qu’un mensonge visible, un mensonge entre guillemets, avec
clin d’œil, était la vérité nue ? Oui, sinon, qu’est-ce que la
vérité ? Les yeux extravagants. Affreuses contradictions solaires...
« Du siehst : der Rest
ist Theater. Der letzte unserer magischen Versuche, die Angst uns
auszutreiben. »
0 Comments:
Post a Comment
<< Home