Thursday, January 02, 2014

L e jour au sommeil, la nuit au devoir


Non, je cherche encore autre chose. Je regarde Satyricon, de Federico Fellini, parce que le héros ressemble à Bel-Ami, par ex, à 1h28s. Tout m’est émotion. Même la France et le français. Il fait si peu de noir. Tout est surexposé. Outré. Ensoleillé. Etablissement de noir. Nuit découpée au cordeau.
Ces images que je voyais parmi les yeux d’enfants. Et du chien aveugle sur le chemin de pierre blanche, de pierraille. S’il faut choisir dans sa mémoire… ce chemin ou cette absence de chemin, mais qui prend forme. Avec la boue ramassée — et l’eau. Et de nombreux châteaux, sur la route. Les merveilles à regarder et à observer, les merveilles que personne ne voit (mais tout le monde). Qui a dit qu’un mensonge visible, un mensonge entre guillemets, avec clin d’œil, était la vérité nue ? Oui, sinon, qu’est-ce que la vérité ? Les yeux extravagants. Affreuses contradictions solaires...



« Du siehst : der Rest ist Theater. Der letzte unserer magischen Versuche, die Angst uns auszutreiben. »

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