L eft with my own despair of being able to do anything at all on the canvas
Hier, j’étais au théâtre du
Rond-Point et je crois que c’est là — ou serait-ce sinon ? en rentrant, j’ai
regardé Jean-Michel Ribes dire à la télé qu’il était très ami avec François
Hollande et pas du tout avec Valérie Trierweiler — que j’ai entendu cette
phrase : « Est-ce que tu as des amis gay qui tripent sur François
Hollande ? » Je me souviens que je l’ai inscrite dans mon carnet
parce qu’elle aurait pu faire un titre — de spectacle ? peut-être pas... de
stage Afdas ? certainement ! ils ont si peu d’humour, ça leur ferait
du bien… ou, au moins, d’une chronique sur Internet (à défaut d’avoir le pouvoir).
C’est la nuit maintenant qui tombe et je me réveille seulement un peu… J’aime n’avoir
rien foutu, mais me réveiller encore. Comme dans la pièce de Vanessa Van Durme,
la mère dit : « Est-ce que je suis déjà morte ? » « Non »,
répond la fille... « Tu me le diras quand je serai morte, hein ? »
« Mais oui… » C’est demain que je dois
mourir. Vincent Dieutre veut me faire jouer le last day d’une sorte de
Dalida-Amy Winehouse-Marilyn Monroe-etc. j’ai un peu les chocottes, parce que
je n’ai jamais fait de cinéma et qu’il n’y a pas de maquillage prévu (ni de
perruque, etc., juste une robe) — on verra.
Labels: paris
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