N otes sur ma mère
« Jonathan Caouette filme la liberté qu’on a
quand on s’autorise à oublier », dit Aurélie Charon pour présenter son
invité. Je note la phrase d’Einstein (que JC a mis en exergue de son
film) : « La distinction entre passé, présent et futur n’est qu’une
illusion ». Et je note des choses que je pourrais dire ds cette émission
où je me tais : « statu quo » ; « mais je n’ai pas ce savoir de pouvoir parler sur ma mère » ;
« J’aimerais dire de ma mère comme JC : « Elle est belle comme
elle est » « la beauté triste ou belle tristesse ds cet être humain
qu’est ma mère » » ; « cette malheureuse qui me demandait
pardon, pardon de quoi ? pardon d’avoir été inquiète de la santé de son
fils » (Albert Cohen) ; « En ce moment, elle a peur et je sens
sa peur, bien sûr. Cette peur n’est pas tout à fait la mienne, c’est la sienne » ; « Une fois Marguerite Duras m’avait
demandé si j’aimais ma mère, même ça, je n’avais pas su répondre » ; « Y
a qqch de religieux de parler de sa mère ». Et puis je demande à mon
voisin d’écrire son nom que je viens d’entendre prononcer (mais, ça, c’est pour
le plaisir...) : David Baudart.
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