O blativité
Ce qui est moi et ce qui
s’effrite.
Les poèmes d’Arthur Rimbaud
tels que je les conçois. Je les écris comme je le veux. (Dans l’ineffable moire
de l’été.)
Ils se sont mis des vêtements
et des couvertures et des fourrures. Vous avez tous les mots, ils s’effacent.
Ils créent.
Bouts de mur, bouts de
stupre, bouts de stupeur… (les agrès.) Rêves et songes et trépassements. Là,
dans la réalité, qq’un se lève, qq’un s’éveille.
« Madre
generosa ! »
Le héros ne meurt jamais. Il
est plus beau à la fin du film. Le faux et le vrai des herbes.
Toujours le vent du songe et
les poudres… Je suis arrivé au bout.
Labels: poésie
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