L 'Invention de la guerre
Quelle merveille de te voir
comme éternellement renfiler (ça ne fait que 3 jours pourtant...) ton
habit militaire, éternellement le guerrier, éternellement la douceur, la
vitesse de la vie qui coule entre les doigts... l'amour déjà déplacé, déjà des
planètes extrêmes, cette fête... si proche... si loin... la disponibilité au
destin. J'aime beaucoup l'exactitude de tes apparitions, tout à fait comme dans
L'Invention de Morel, d'Adolfo
Bioy Casares, que je te conseille de lire si tu ne l'as pas déjà fait.
Je t'embrasse, très, très
cher Ambroise,
à tout de suite,
Yvno
Labels: bouffes, correspondance
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