Rachid Ouramdane
J'ai été comme souvent avec
tes pièces complètement saisi et ému aux larmes. Tes pièces me font du bien.
Comme à chaque fois tu nous fais partager des fondamentaux de la vie : l'amour,
la mort, le temps qui passe, le désir, le banal érigé au rang du nécessaire par
nos affects, l'insignifiance des choses mais aussi leur grande beauté ; tout ça
avec un savoir de la scène d'une rare élégance. Bravo à toi et à tous ceux qui
t'accompagnent.
Amitiés.
Rachid
Oh ! Je transmettrai ! Ton
hommage me va droit au cœur, très cher prince ! Merci, Yvno
Moni Grego
Quelles merveilles ! quelle
audace ! Quels courages ! Vous êtes comme un arrière-petit-fils de la poésie la
plus essentielle, celle de Rimbaud, de Lautréamont, de Baudelaire, et il est
très étonnant que dans votre geste si sonore et imagé, je retienne avant
tout — au-delà de votre amour pour
Cioran — ce bouillonnement d'écriture, échevelé, animal, extrêmement civilisé,
d'une élégance à la fois enfantine et hors de tout temps, qui pourtant nous
prend, puise dans notre temps, celui qui nous fonde intérieurement et que vous
révélez si heureusement alors que notre époque le jette sous le tapis de conventions,
d'infâmes politicailleries, de désamours de toutes sortes. J'étais là hier. Ah
!... mille mercis, je serai re-là ce soir.
:-) Merci, merci ! Des bises !!!
Pascale Fautrier
Même pas eu la force de te
saluer hier soir, et de te remercier pour la beauté de ce nouvel épisode de ton
épopée intérieure : magnifique ! J'en ai oublié mon écharpe sur les gradins et
aujourd'hui je suis bien malade (rien à voir ni avec l'écharpe ni avec ton
« opéra fabuleux »)... Pas la force d'en écrire davantage mais ça
viendra...
Oh, j'avais même pas vu que
tu étais là, Pascale ! Comment elle est, ton écharpe ?
Labels: bouffes, correspondance
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