R ester vivant
Yves-Noël Genod est un
artiste de chambre (ou de salon). Les théâtres sont ses chambres (ou ses
salons), des grottes dans lesquelles il entraîne ses semblables. Ensemble, ils
regardent les ombres de la réalité fuyante. Ils y font le noir, ils y font la
lumière. Après avoir erré l’an passé « hors les murs » avec « Disparaissez-moi ! », Yves-Noël Genod retrouve La Condition des soies pour un nouveau one man show préfiguration du spectacle prévu en décembre par le très officiel Festival d’Automne et le Théâtre du Rond-Point à Paris — à
partir des figures de Michel Houellebecq et de Charles Baudelaire (son maître)
auquel s’ajouteront peut-être quelques autres images, tel Emil
Cioran... Rien que du noir de théâtre et du profond, du si noir qu’après tout, on devrait peut-être en rire... Qui
sait ? « Ne me demandez plus mon programme, dit Emil
Cioran : respirer, n'en est-ce pas
un ? » Champagne ! — Entrée gratuite, sortie
payante...
Yves-Noël Genod est un artiste de chambre (ou de salon). Les théâtres sont des grottes dans lesquelles il entraîne ses semblables. Ils regardent ensemble les ombres de la réalité fuyante. Ils y font le noir, ils y font la lumière. Après avoir erré l’an passé « hors les murs » avec Disparaissez-moi !, Yves-Noël retrouve La Condition des soies pour un nouveau «one man show» très noir préfigurant le spectacle de décembre au Théâtre du Rond-Point, annoncé à partir des figures de Michel Houellebecq et de Charles Baudelaire (son maître) —auquel s’ajouteront peut-être quelques autres noires images. Rien que du noir (de théâtre) et du si noir qu’après tout, on devrait peut-être en rire… «Ne me demandez plus mon programme, dit Emil Cioran : respirer, n'en est-ce pas un ?»
Yves-Noël Genod est un artiste de chambre (ou de salon). Les théâtres sont des grottes dans lesquelles il entraîne ses semblables. Ils regardent ensemble les ombres de la réalité fuyante. Ils y font le noir, ils y font la lumière. Après avoir erré l’an passé « hors les murs » avec Disparaissez-moi !, Yves-Noël retrouve La Condition des soies pour un nouveau «one man show» très noir préfigurant le spectacle de décembre au Théâtre du Rond-Point, annoncé à partir des figures de Michel Houellebecq et de Charles Baudelaire (son maître) —auquel s’ajouteront peut-être quelques autres noires images. Rien que du noir (de théâtre) et du si noir qu’après tout, on devrait peut-être en rire… «Ne me demandez plus mon programme, dit Emil Cioran : respirer, n'en est-ce pas un ?»
Yves-Noël Genod est un artiste de chambre (ou de salon). Les théâtres sont ses chambres acoustiques, des grottes dans lesquelles il entraîne ses semblables. Ensemble, ils y font le noir et la lumière et regardent les ombres de la réalité fuyante. Après avoir erré l’an passé «hors les murs» (Disparaissez-moi !), Yves-Noël retrouve le point central de La Condition des soies où il avait présenté il y a 4 ans Le Parc intérieur (d’après Shakespeare) pour un nouvel opus (préfiguration du spectacle prévu en décembre, à Paris, au Théâtre du Rond-Point) à partir de Michel Houellebecq et Charles Baudelaire. Rien que du noir (de théâtre) donc et du si noir qu’après tout, on devrait peut-être en rire… «Ne me demandez plus mon programme, dit Emil Cioran : respirer, n'en est-ce pas un ?»
Après avoir erré l’an passé «hors les murs» (Disparaissez-moi !), Yves-Noël retrouve le point central de La Condition des soies où il avait présenté il y a 4 ans Le Parc intérieur (d’après Shakespeare) pour un nouvel opus (préfiguration du spectacle prévu en décembre, à Paris, au Théâtre du Rond-Point) à partir de Michel Houellebecq et Charles Baudelaire. Rien que du noir (de théâtre) donc et du si noir qu’après tout, on devrait peut-être en rire… «Ne me demandez plus mon programme, dit Emil Cioran : respirer, n'en est-ce pas un ?»
Après avoir erré l’an passé «hors les murs» (Disparaissez-moi !), Yves-Noël retrouve La Condition des soies où il avait présenté il y a 4 ans Le Parc intérieur (d’après Shakespeare) pour un nouvel opus (préfiguration du spectacle prévu en décembre, à Paris, au Théâtre du Rond-Point) à partir des figures de Houellebecq et de Baudelaire. Rien que du noir (de théâtre) donc et du si noir qu’après tout, on devrait peut-être en rire… qui sait ? «Ne me demandez plus mon programme, dit Emil Cioran : respirer, n'en est-ce pas un ?» Lucidité...
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