Gwenaël Morin
Yves-Noël,
Je me disais que peut-être
tu pourrais tenir une forme de théâtre permanent avec ton propre travail
pendant quatre mois au Théâtre du Point du Jour à Lyon en 2015 ouvert tous les jours, etc.
Qu’est-ce que ça peut vouloir dire pour toi, est ce que ça pourrait t'intéresser
d'y réfléchir ?
Dis-moi.
Tu connais probablement
mieux mon travail que je ne connais le tiens mais j'ai eu une forme de coup de
foudre aux Bouffes du Nord en avril pour ton spectacle et aussi pour toi acteur
et plus encore pour toi acteur d'ailleurs sans que ça ne relativise en rien la
beauté de ton spectacle.
Voilà
abruptement
Bravo
à toi
Et comment, ça m'intéresse
d'y réfléchir, cher Gwenaël ! Ton message me touche au cœur, direct (c'est bien
rare qu'un metteur en scène m'exprime une admiration), et me touche précisément
dans la loge de cette Condition des soies où je suis redescendu 2 jours pour préparer
Avignon cet été et au moment (celui des affres) où je me dis : « c'est génial,
c'est super, mais on vient de faire un si beau spectacle, pourquoi recommencer à
zéro ? » Le Théâtre Permanent, voilà ce qu'il nous faut (tu l'as
assez démontré) ! C'est un oui de principe enthousiaste !
A bientôt,
Yves-Noël
Labels: bouffes, correspondance
1 Comments:
Oh, Yves-Noël, quelle joie pour le lyonnais que je suis.
Bises.
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