L e Sacrifice de l’artiste
Je soutiens le mouvement
des intermittents S’IL SE RADICALISE. Jusqu’à now, grèves et lectures (enregistrées
souvent) de textes édifiants avant ou après les spectacles : pisser
ds un violon (et encore ! si seulement ! Thomas Gonzalez ou
Thomas Scimeca le feraient magnifiquement, ça ! — pardon Mario Forte). La
présence panique d’Aurélie Filippetti à Avignon (style la fuite à Varennes) apparaît
plus près du réel. Charles Baudelaire criait, en 1848, « Il
faut tuer le général Aupick ! » Bon, il omettait de préciser que le
général Aupick était son beau-père (qui, par chance, était absent de Paris).
Toute révolution est la tentative renouvelée de mettre en scène le sacrifice d’un
roi. Un roi ou l’un de ses généraux. Ou même encore — un rêve l’atteste —, on
peut remplacer le sacrifice du général par son cheval...
Labels: avignon
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