Le film de l’ambassadeur,
l’ardoise inexistante — et pourtant du camping — pleure ! L’eau recueille,
recueillie — pourquoi l’eau de mer est-elle salée ? Elle vit… Elle pleure.
J’ai vu la mouette lancer de haut le coquillage pour le casser… on dira ce
qu’on veut…
Labels: poésie
0 Comments:
Post a Comment
<< Home