T he Rip
J’étais plongé dans ma
passion. Droit, j’écoutais la musique des secondes, la musique qui pouvait être
une musique ancienne — qui avait peut-être résonné aux oreilles de Michel de
Montaigne — ou de Gilles de Rais — ou de Jorge Luis Borges, là-bas, en
Argentine, là-bas… Et la musique montait, montait… Une roue dentelée… Ça
parlait de « white horses » et de la « tenderness » — mais
qui ne comprenait pas l’anglais ? Je vous exprime et je vous écris… Il
n’était pas de nuit, il était minuit, l’heure du goutte-à-goutte… Les dents
fragiles, blanches, éclatantes… Je pouvais coucher avec tous mes amis….
Labels: château
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