Wednesday, February 04, 2015


« Ah, que voulez-vous, c’est un malheur, un tempérament comme ça, c’est plus fort que moi, j’ai la femme dans le sang ! »

« Vous êtes la maîtresse de mon cœur et, ça, personne, pas même vous, ne peut l’empêcher. »

« Seulement que voulez-vous ? quand l’animal tire trop fort sur la laisse, eh bien, je me résigne… Je le promène… »

« Ah, elle est belle, la jeunesse d’aujourd’hui : on brûle la chandelle par les deux bouts. »

« C’est mon oncle de lait. »

« Je vous demande pardon, c’est un vieux domestique de la famille. Il est un peu terre-à-terre. Ah, il ne nage pas comme nous dans l’idéal ! »

« J’entends que l’homme qui m’aimera soit l’esclave docile de mes caprices. J’ai dit : Asseyez-vous ! Asseyez-vous… »

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