« Ah, que voulez-vous,
c’est un malheur, un tempérament comme ça, c’est plus fort que moi, j’ai la
femme dans le sang ! »
« Vous êtes la
maîtresse de mon cœur et, ça, personne, pas même vous, ne peut l’empêcher. »
« Seulement que
voulez-vous ? quand l’animal tire trop fort sur la laisse, eh bien, je me
résigne… Je le promène… »
« Ah, elle est belle,
la jeunesse d’aujourd’hui : on brûle la chandelle par les deux
bouts. »
« C’est mon oncle de
lait. »
« Je vous demande
pardon, c’est un vieux domestique de la famille. Il est un peu terre-à-terre.
Ah, il ne nage pas comme nous dans l’idéal ! »
« J’entends que
l’homme qui m’aimera soit l’esclave docile de mes caprices. J’ai dit :
Asseyez-vous ! Asseyez-vous… »
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