F euille de salle Zelda, Vanves
Yves-Noël Genod présente
Un petit peu de Zelda
(remix)
Tous mes spectacles sont
des remixes, mais celui-ci a, plus facilement peut-être, la possibilité de
renaître de ses cendres. Un petit peu de Zelda, c'est une installation lumineuse de
Philippe Gladieux, un procédé qu'il a inventé. Un outil qui permet d'interpréter la lumière, c’est-à-dire de jouer une partition où la
lumière reste vivante, toujours insaisissable. Philippe a aussi la possibilité
d'intervenir au stylo pour atténuer, rediriger les effets, dresser les nuages.
Il saisit ou non cette opportunité. Ainsi le contenu du spectacle est libre, il est inventé par les
interprètes et par vous et par moi. Il est fait de la matière de nos rêves, de vos
rêves. Il est extra et terrestre, comme disait une amie... C’est donc une version inédite
que le dieu du hasard a bien voulu nous… Non, je ne veux rien dire...
Laissez-vous aller...
Yves-Noël Genod
Avec, par ordre d'entrée en
scène :
Adrien Dantou
Gaël Sall
Wagner Schwartz
Jonathan Foussadier
Grégory Carnoli
Jessica Batut
Assistant : Simon Bomo
Assistante stagiaire :
Helen Héraud
Remerciement à Marc
Toussaint
Production : Le
Dispariteur
Coproduction : Théâtre
de Vanves, la Ménagerie de verre, Théâtre de Gennevilliers
L’association Le
Dispariteur bénéficiera, en 2015-2016 d’une aide à la compagnie attribuée par
la DRAC Île-de-France
Le spectacle est dédicacé à
Philippe Lançon
Durée : 1h30
« Et ça, c'est trop
transparent ou pas assez ?
— Ça dépend si vous voulez
montrer la vérité.
— C'est comment la
vérité ?
— C'est entre apparaître et
disparaître. »
Jean-Luc Godard, Détective
Yves-Noël Genod
ne se présente lui-même que comme un « distributeur » de poésie et de
lumière ; il n’invente aucun spectacle qui n’existe déjà. Il fait passer le furet, « passé par
ici, il repassera par là », il révèle. En effet, pense-t-il, la
révolution, c’est la redistribution des richesses accaparées. Son art a été
qualifié de « théâtre chorégraphié ». Ce comédien prétend s’effacer derrière
son œuvre qu’il désirerait n’être que trace infime, dérisoire, inutile, mais
dans l’optique pascalienne qui dit que : « Nul ne meurt si pauvre qu’il ne
laisse quelque chose »...
Yves-Noël Genod a présenté au
festival Artdanthé quatre pièces : Dictionnaire des Açores, C’est pas pour les cochons ! (collaboration avec Kataline Patkaï) et Hamlet dans sa troisième version. Un petit peu de Zelda est la deuxième version du spectacle déjà présenté à
la Ménagerie de verre
Labels: zelda vanves
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