« II te faut, pour
gagner ton pain de chaque soir,
Comme un enfant de chœur,
jouer de l’encensoir,
Chanter des Te Deum
auxquels tu ne crois guère,
Ou, saltimbanque à jeun,
étaler tes appas
Et ton rire trempé de
pleurs qu’on ne voit pas,
Pour faire épanouir la rate
du vulgaire. »
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