Aujourd’hui je ne suis pas
allé au théâtre. J’ai sauté Marie Stuart, par Ivo van Hove, à Créteil. J’ai vu la bande-annonce, lu qq articles,
demandé qq avis — comme celui de Pzblo : « Marie Stuart, par Ivo van Hove, c'est vraiment du théâtre — c'est-à-dire
que c'est parfois les Feux de l'amour
et tu pleures vraiment parce que Marie Stuart va mourir, parfois pas. Et puis
il y a Halina Reijn, la divine et ses bas noirs qui la moulent comme une orchidée
perverse poussée sur le tronc ravagé du baobab de la décadence. » L’actrice
lui avait envoyé des petits mots doux qu’il m’avait montrés, ça ne m’étonnait pas
du tout qu’elle voulût le sauter. C’est comme Zineb avec Marc Toussaint... De
plus en plus de femmes ont envie d’homosexuels et ne rechignent pas à envisager
le gode ceinture. Bon, si j’arrêtais cet article... je sens que je suis mal
embarqué. Je suis fatigué, on s’est couché à sept heures et demie… C’était une
belle soirée dans une cave d’un nouveau lieu (enfin, nouvellement repris par l’un
des associés des Idiots à Ménilmontant) sur l’île Saint-Louis en face du pont
Marie : les Beaux Culs.
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