Touché de te croiser hier, Daniel, et quel décor puissant ! (comme d’habitude) avec des matières dont la sensualité et la brutalité me tourmentent encore (comme souvent ta puissance) : encore une fois, je me suis senti disponible (comme posé), à regarder une œuvre d’art, une œuvre plastique pendant deux heures sans moufter ; cette expérience, on ne la fait qu’au théâtre (qui se le permet dans une exposition ? moi, quand j’étais jeune — et je ne le suis plus…)
J’aimerais tellement un jour dans ma vie avoir les moyens de te demander un décor… J’adorerais ! Quelle fierté, ce serait… Peut-être un jour pour un opéra, voie plus indirecte, mais qui serait, peut-être, plus probable : au moins, là, il y a un budget…
T’embrasse, chéri,
Yvno
Labels: correspondance
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