Depuis le 9 juillet 2015, j’écris un long poème (fait d’une myriade de poèmes) dont je donne, pour une expo, cet extrait
La splendeur du temps qui passe
J’ai rêvé que j’allais écrire : oui, il me faut un nouvel espace. Rêver à ces romans. Qui commenceraient sans commencer, qui écriraient… Sur ma table de nuit, la photo d’un homme jeune. Un danseur. Disponible. Amoureux
J’aurais le titre d’un roman (j’en ai mille)
Je puiserai dans les poètes
comme dans des puits.
Oui, nous ne sommes pas seuls…
Mais pourtant tout est là.
(Je m’exprime mal, je ne m’adresse pas, pas tout à fait…)
Mais peu à peu, pas à pas… Tout ce qu’a fait, dans la mémoire immédiate — et celle de demain — untel ou untel…
Louis de Funès ou
Yves Montand
« Grimé en vieil homme »
Labels: poésie
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