Qu’est-ce que c’est beau, quand même, qu’est-ce que c’est nocturne, le dernier disque de Christophe que j’écoute (et réécoute) sur Deezer… Très dense. Très fou. Très profond. Je ne sais pas comment il a fait pour être en telle forme… J’ai aimé aussi le film de James Franco d’après les plans de Gus Van Sant, My Own Private River, à la mémoire de River Phœnix, projeté à la Cinémathèque, entêtant. J’aime les films de Frank Smith, ultra-violents, sur le réel, les ciné-tracts avec des images ramassées, récoltées, presque effacées qui filment le réel — et la poésie pour la violence des mots. J’aime Ezéchiel, dans la Bible, traduit par Marianne Alphant. J’aime l’entretien de William Faulkner, sorte d’autoportrait brutal, à la serpe, lui aussi parle du réel. J’aime Paris qui, elle, n’est pas réelle.
Labels: paris
0 Comments:
Post a Comment
<< Home